Le 30 octobre 2025, l'Agglo Seine-Eure, la Fédération de pêche et de protection des milieux aquatiques de l’Eure et l’Agence de l'eau Seine-Normandie signent le contrat de territoire “Eure Aval et Oison” , un programme de 5,9 millions d’euros comprenant 46 actions, qui fixe une feuille de route jusqu’en 2030 pour restaurer les rivières, les zones humides et protéger la ressource en eau.

Sur un territoire de plus de 300 km² et une centaine de kilomètres de cours d’eau, les partenaires s’engagent à rétablir la continuité écologique de l’Eure et de l’Oison, à restaurer les champs d’expansion des crues, à recréer 17 hectares de zones humides et à renforcer la résilience du territoire face au changement climatique.

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C'est quoi un contrat de territoire ?

Le contrat de territoire est un outil de programmation pluriannuel qui engage les parties sur les enjeux eau de leur territoire en les articulant avec les autres politiques publiques qui s'y appliquent. Les maîtres d’ouvrage signataires s’engagent à mettre en œuvre les actions prioritaires figurant au programme d’actions du contrat.

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Le 30 octobre 2025 à Bar-le-Duc, le Département de la Meuse a signé avec l' Agence de l'eau Seine-Normandie et l'Agence de l'Eau Rhin Meuse, un contrat de territoire en présence de M. Xavier Delarue, Préfet de la Meuse.

Doté de 4 millions d'euros, ce programme soutient :

•  la restauration des rivières et des zones humides,
• la sobriété en eau
• et la gestion durable des eaux pluviales.

Parmi les actions phares : l'effacement du pont de Mussey à Val d'Ornain et la poursuite du Plan herbe Meuse. Ce contrat, cofinancé par les agences de l'eau, illustre la coopération interbassins pour préserver la ressource en eau, la biodiversité et le climat sur le territoire meusien.

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C'est quoi un contrat de territoire ?

Le contrat de territoire est un outil de programmation pluriannuel qui engage les parties sur les enjeux eau de leur territoire en les articulant avec les autres politiques publiques qui s'y appliquent. Les maîtres d’ouvrage signataires s’engagent à mettre en œuvre les actions prioritaires figurant au programme d’actions du contrat.

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Le 23 octobre, l'agence de l'eau Seine-Normandie et les acteurs du bassin de la Risle et de la Charentonne (Intercom Bernay Terres de Normandie (IBTN), Communauté de communes Pays de l’Aigle (CCPA), Communauté de communes Lieuvin Pays d’Auge (CCLPA), SYNDICAT MIXTE DU BASSIN DE LA RISLE ET DE LA CHARENTONNE (SMBRC), Syndicat mixte de la basse vallée de la Risle (SMBVR), Association syndicale autorisée de la Risle médiane (ASARM) et Fédération départementale de pêche et de protection du milieu aquatique de l’Eure (FDPPMA27)) signent un contrat de 29,37 M€ pour restaurer l'eau, la biodiversité et s'adapter au changement climatique.

Doté de 29,37 M€, ce contrat de territoire de plus de 5 ans engage des actions concrètes :

• restauration de la continuité écologique sur une dizaine d’ouvrages, renaturation de plus de 85 km de cours d’eau,
• protection de 138 mares et 13 zones humides,
• réhabilitation de 5 stations d’épuration et de 12 réseaux d’eaux usées,
• et mise en oeuvre de 16 opérations pour la prévention des risques d’érosion et de ruissellement.

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C'est quoi un contrat de territoire ?

Le contrat de territoire est un outil de programmation pluriannuel qui engage les parties sur les enjeux eau de leur territoire en les articulant avec les autres politiques publiques qui s'y appliquent. Les maîtres d’ouvrage signataires s’engagent à mettre en œuvre les actions prioritaires figurant au programme d’actions du contrat.

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La préfecture de région d’Ile de France et l’agence de l’eau Seine-Normandie organisaient ce matin une cérémonie à l’Hôtel de Noirmoutier pour remettre les prix « Immeubles bien branchés, rivières en bonne santé ». Cette initiative récompense l’engagement exemplaire des collectivités franciliennes dans la mise en conformité des réseaux d’assainissement, en ciblant particulièrement l’habitat collectif – bailleurs et copropriétés – afin de lutter contre les rejets d’eaux vannes dans les réseaux d’eaux pluviales.

Cette action s’inscrit dans le cadre du 12^e programme de l’agence de l’eau (2025-2030), qui encourage les collectivités à poursuivre leurs efforts pour atteindre les objectifs de la Directive Cadre sur l’Eau et garantir un bon état écologique des cours d’eau, notamment de la Seine et de la Marne. Cette première édition 2025 met en lumière deux collectivités particulièrement engagées :

• Grand Paris Grand Est, lauréat du prix 2025, pour la mise en conformité de 1 266 équivalents/habitants dans son territoire, grâce à une maîtrise d’ouvrage publique active et un important programme de travaux.
• Paris Est Marne et Bois, qui remporte le prix spécial 2024 en reconnaissance des travaux réalisés avant les Jeux Olympiques de Paris, avec plus de 2 555 équivalents/habitants mis en conformité.

Ces initiatives permettent d’assurer une meilleure qualité des eaux, favorisant le retour de la baignade en milieu urbain, et améliorent la gestion des petits affluents souvent en difficulté. L’agence de l’eau Seine-Normandie espère ainsi inspirer un maximum de collectivités à rejoindre ce mouvement essentiel pour la protection de nos rivières et la qualité de vie des habitants.

Le 14 octobre 2025, l'Agence de l'eau Seine-Normandie et le SYNDICAT MIXTE MARNE VIVE signent un contrat de territoire sur 6 ans, doté d'un programme d'actions de 365 millions d'euros. Le nouveau contrat 2025–2030 porte une ambition forte, celle de pérenniser les sites de baignade sur la Marne.

Pour atteindre ces objectifs, les priorités du contrat s’articulent autour de quatre axes :

• Réduire la pression sur les milieux en maîtrisant les rejets et en consolidant les performances de l’assainissement,
• Renaturer le territoire, par la restauration des cours d’eau et la reconnexion des zones humides,
• Accélérer la désimperméabilisation, dans un contexte urbain dense,
• Accroître la résilience face au changement climatique et au risque d’inondation.

La direction territoriale des Vallées d’Oise a animé ce jeudi 9 octobre un webinaire pour présenter aux acteurs économiques de son territoire les aides financières et modalités d’accompagnement de l’agence de l’eau Seine-Normandie.

Vous pouvez consulter le replay en regardant la vidéo suivante et télécharger la présentation.

Mercredi 8 octobre, les techniciens et animateurs zones humides de la direction territoriale des vallées d'Oise se sont réunis pour une journée technique.

Au programme : 

• Présentation en salle par Sébastien Lécuyer de l'association La Roselière, gestionnaire de la Réserve Naturelle Nationale du marais de Vesle-et-Caumont.
• Visite de 3 sites par 3 gestionnaires différents :
  • La Roselière,
  • l'AMSAT des marais de la Souche
  • et le Conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France.

Une visite a pu être faite pour voir les mousses réintroduites par le Conservatoire botanique national de Bailleul dans le cadre du programme Life Antropofens.

Une belle journée où les participants ont pu parler "réserves naturelles", "plans de gestion", "pâturage", "fauche"... et qui s'est terminée par un pot de l'amitié. 

Un grand merci aux différents intervenants (Sébastien Lécuyer, Emelyne Doisy, Loïc Leglise, David Frimin) et aux participants. 

Le forum des acteurs de l’eau des vallées de Marne a réuni 120 participants qui ont assisté à une séance plénière sur la planification pour l'eau et à deux tables rondes sur la protection des zones humides et la protection des captages 

Le forum a ouvert sur un rappel des étapes de planification définies dans la Directive Cadre sur l’Eau (DCE). Ainsi, une présentation des premiers résultats de l’état des lieux 2025 a permis de dresser le bilan de l’état des milieux aquatiques et des risques de non atteinte des objectifs fixés pour 2033. Il a ensuite été expliqué comment ces résultats permettent de co-construire la définition des actions prioritaires à mettre en œuvre pour atteindre ces objectifs via le programme de mesures.

Deux tables rondes ont ensuite donné l’occasion d’échanger : la première sur l’importance de connaître les zones humides pour mieux les intégrer dans la planification territoriale, la seconde sur la stratégie pour la préservation de la ressource en eau, permettant une meilleure planification des actions.

Elus, techniciens, administrations ont apporté leurs témoignages sur leurs expériences respectives. Analyser, étudier, informer, fédérer et accompagner sont les maîtres mots qui ont guidé les interventions.

lien vers la page du forum

Le 18 septembre 2025, plus de 180 acteurs de l’eau de Seine-Aval et des rivières normandes se sont réunis à Grand Quevilly sous la présidence de Valérie Desquesne, présidente de la commission territoriale Seine-Aval et rivières normandes.

Jean-Benoît Albertini, préfet de la région Normandie, a rappelé la nécessité pour le territoire de renforcer sa résilience face au changement climatique et a présenté les trois priorités du Plan eau : sobriété, sécurisation de l’alimentation en eau potable et gouvernance locale.

La matinée a porté sur les premiers résultats de l’état des lieux 2025 du bassin et sur les grands enjeux du 12^e programme "Eau, climat & biodiversité" 2025-2030 de l’agence de l’eau Seine-Normandie : protection de la ressource, renaturation des villes, gestion des eaux pluviales à la source et préservation des zones humides.

Témoignages d’élus, de techniciens et de maîtres d’ouvrage ont illustré des actions concrètes menées sur le territoire, notamment en agriculture, urbanisme et accompagnement au changement. Ce forum a aussi marqué le lancement des travaux du futur SDAGE et a rappelé la nécessité d’agir collectivement face aux défis climatiques.

Le 19 septembre 2025, l'agence de l'eau Seine-Normandie, la Communauté de communes des Lisières de l'Oise (CCLO) et le Syndicat des Eaux du Soissonnais et du Valois (SESV) signent un contrat de territoire sur 6 ans, doté d'un programme d'actions de 1,19 million d'euros.

L'ambition du contrat est d'agir à la source de la pollution plutôt que de multiplier les mesures curatives. Ainsi il est prévu de réduire les pollutions (notamment nitrates et pesticides) dans les captages d'eau en mettant en place des cultures à bas niveau d'intrants, réaliser la révision de 7 périmètres de protection de captages ou encore prévoir 450ha de mesure agro-environnementales et climatiques entre autres.

De plus s'ajoute un objectif de réduction des prélèvements grâce à l'amélioration du rendement des réseaux et à la sensibilisation des usagers.

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