Espace Partenaires

Cet espace est réservé pour les téléservices de l'agence de l'eau Seine-Normandie. Vous pourrez trouver, ici, les liens qui vous permettront de vous rendre dans les différents espaces extranet de l'agence de l'eau (dépôt de fichiers DEQUADO, Justificatif de paiement…)

Contactez votre direction territoriale

Si vous souhaitez avoir un appui technique et financier pour vos projets ou obtenir des informations sur les primes et les redevances, la direction territoriale de votre secteur peut vous apporter une réponse. N’hésitez pas à la contacter.

Portail de Bassin

L’agence de l’eau Seine-Normandie met à disposition ses données via le portail de bassin

Données sur la qualité des eaux superficielles

L’agence de l’eau Seine-Normandie met à disposition ses données de suivi de qualité des eaux superficielles

bulles d'eau

Armada de Rouen 2019

stand de l'agence de l'eau à l'armada

L’agence de l’eau Seine-Normandie est présente à l’Armada qui se déroule sur les quais de Rouen du 6 au 16 juin 2019.

C’est sa 4ème participation (2003, 2008, 2013, 2019) à ce plus grand rassemblement de voiliers au monde où des millions de visiteurs sont attendus.

Toute les équipes seront mobilisées de 10h à 20h chaque jour sur son stand de 100m2 afin d’accueillir et sensibiliser le grand public et les enfants aux enjeux de la Seine et du changement climatique.

L’espace agence de l’eau sera notamment composé d’une exposition « de la source à l’estuaire » basée sur le principe de la réalité augmentée : à l'aide des tablettes mises à disposition (ou de Smartphone après téléchargement de l'application gratuite CLIMAT'EAU), le visiteur pourra accéder à des contenus animés, photos ou films sur la biodiversité sur les 6 panneaux exposés.

Par ailleurs, un espace vidéo pouvant accueillir 8 personnes diffusera en continu les films et documentaires réalisés par l’agence. Dans un soucis d’éco-responsabilité, l’aménagement intérieur du stand Agence de l’eau a été réalisé en partenariat avec « la Ressourcerie » de Darnétal (réemploi de mobilier, banquette et présentoirs en palette) et avec une très faible utilisation de la moquette pour créer un cheminement en forme de boucle de la Seine.

Interieur du stand

stand

salle de visionnage

Signature du 1er contrat de territoire "Eau & climat" du bassin Seine-Normandie

Pointe d'agon-coutainville

Invitation PRESSE : Le 28 mai, sera signé le premier contrat de territoire "Eau & climat" sur le territoire de Coutances mer et bocage.

Elaboré pour 3 ans, le contrat répond à l’urgence d’agir collectivement pour la qualité de l’eau sur le territoire.

Téléchargez l'invitation presse 

Crédit photo :CDC Coutances mer et bocage

Inauguration du pôle "Eau et biodiversité" à Châlons-en-champagne

inauguration du pôle "eau et biodiversité"

Au terme d’un an de travaux, Patricia Blanc, directrice générale de l’agence de l’eau Seine-Normandie, a inauguré, le vendredi 26 avril, les locaux rénovés du site de Châlons-en-Champagne situés chaussée du port, en bordure du canal Saint-Martin. Elle poursuit en accueillant les services marnais de l’Agence Française de la Biodiversité et de l’Office National de la Chasse et de la Faune Sauvage et ajoute que « la proximité des équipes produiront assurément de belles coopérations entre les structures intervenant dans le domaine de l’eau et de la biodiversité ».

En savoir plus ...

Commission des aides - Mars 2019

gestiuon des eaux pluviales

La commission des aides a examiné 208 projets portés par des collectivités,entreprises, agriculteurs et associations pour améliorer la qualité del’eau et des milieux aquatiques du bassin Seine-Normandie.

Elle a délibéré dans le cadre du nouveau 11e programme «Eau & climat» et accordé 42,7 M€ d’aides financières.
Bon signe pour l’adaptation au changement climatique: en zone urbaine, 8 projets de gestion à la source des pluies courantes par infiltration vont être engagés
 
AMI GRAND EST - soutien aux filières favorables à la protection de la ressource en eau
blé

La Région Grand Est et les agences de l’eau Rhin-Meuse, Seine-Normandie et Rhône Méditerranée Corse initient un nouvel appel à manifestation d’intérêt pour faire émerger ou pérenniser des filières agricoles respectueuses de la ressource en eau et viables économiquement.
 

Objectifs :

  • accompagner l’évolution pérenne de systèmes dans des projets de territoires qui prennent en compte la protection globale de la ressource en eau, c’est-à-dire des projets collectifs liés à un territoire et intégrant l’ensemble des enjeux « eau » (qualité de l’eau, préservation des milieux humides, gestion des coulées de boue, inondation,…) ; sur certains secteurs « à fort enjeux eau » à l’instar du bassin versant du Rupt de Mad ou des nappes souterraines utilisées pour la production d’eau potable (champagne crayeuse, nappe du Rhin…), la vallée de la Meuse, les acteurs concernés seront approchées pour qu’ils s’associent à la démarche.
  • soutenir les « changements de systèmes agricoles » et la pérennisation de ces changements afin de réduire drastiquement les transferts d’azote et/ou de phytosanitaires dans le milieu naturel ;
  • favoriser l'innovation, l’émergence de nouveaux porteurs de projet autour de la création ou de la consolidation de filières de production sans ou à bas niveau d’impact sur la ressource en eau (systèmes herbagers, agriculture biologique, luzerne, miscanthus, taillis très courte rotation, chanvre….) ;
  • encourager la transformation et la mise sur le marché de produits agricoles « favorables à l’eau » et notamment « biologiques ».

A travers cette édition,  il s’agira également de consolider la mise en réseau des porteurs de projets selon le principe d’échanges, de retours d’expériences…

 

Bénéficiaires :

Il est ouvert à tout maître d’ouvrage public (collectivités, chambres consulaires, établissements publics, associations …) ou privé (collectifs d’agriculteurs, coopératives, négoces, industries…).

 

Calendrier :

30 mai 2019 : 1ère session de candidatures
30 septembre 2019 : 2de session de candidatures

 

Quels sont les projets éligibles ? Comment sont sélectionnés les dossiers ? Quels montants d’aides possibles ?  

Consultez et téléchargez les documents annexes :

>> le règlement

>> le formulaire

>> l’annexe

>> Le dossier de presse

 

Toutes les informations sont également consultables sur le site de la Région Grand Est

 

 

Spécifications de l'agence de l'eau Seine-Normandie

speifications

Vous êtes maître d’ouvrage d’une opération de construction ou de réhabilitation d’ouvrage pour laquelle vous avez sollicité une aide de l’agence de l'eau Seine-Normandie ou en êtes déjà attributaire.

Vous avez l’obligation de respecter des spécifications techniques qui précisent notamment les contrôles à effectuer et pièces à fournir.

Retrouvez les spécifications sur la page : http://www.eau-seine-normandie.fr/specifications

Etude implantation d’orties en station de traitement des eaux usées
orties

La Communauté de Communes des Portes de Meuse (située dans le Sud du département de la Meuse) a engagé en fin d’année 2018 une étude sur l’implantation d’orties sur les filtres plantés de roseaux.

Cette réflexion s’inscrit dans un projet de multivalorisation de l’ortie lancé en 2011 par la Communauté de Communes. Cette réflexion a permis de mettre en place les bases d’une filière à l’échelle du Grand Est (production, transformation) et une application dans les domaines agricoles, artisanaux et industriels.

Les objectifs de l’étude sont :

- Evaluer les capacités épuratrices et d’assimilation de l’ortie vis-à-vis des macro-polluants (pollutions azotées et phosphorées principalement) et des micropolluants.

- Valider la faisabilité technico-économique d’implantation de l’ortie en station de traitement des eaux usées, de la qualité de l’ortie et sous-produits potentiellement valorisables (purin, ortie fraiche, ortie sèche,…)

La mise en application permettrait de :

  • diminuer les coûts de fonctionnement liés au désherbage de l’ortie qui sont conséquents sur les filtres plantés de roseaux,
  • proposer une alternative à l’épandage des roseaux faucardés par une plante qui offre des possibilités de valorisations multiples

Pour l’instant, trois sites, situés sur le territoire de la Communauté de Communes, ont été retenus pour l’expérimentation : Montiers sur Saulx et Saudrupt pour test sur les filtres plantés et Stainville pour test sur une aire de dispersion végétalisée (les stations de traitement de Gondrecourt le Château et de Brillon en Barrois sont également envisagées si besoin).

L’étude (suivi des résultats) se déroulera sur 3 ans, sera réalisée par le CNRS de Strasbourg et sera financée par l’AESN à hauteur de 50% et par le Pays Barrois à hauteur de 27%, le reste à charge est de 23% pour le maître d’ouvrage.

La betterave biologique : expérimentations en cours !
champs betterave

La coopérative sucrière Cristal Union porte, en concertation avec les Chambres d’Agriculture de la Marne et de l’Aube et l’association Bio en Grand Est, un projet expérimental autour de la culture et de la transformation de la betterave sucrière en agriculture biologique, expérimentation aidée par l’Agence de l’eau Seine-Normandie.

Ce projet comporte deux volets : une expérimentation au champ : « comment faire de la betterave sucrière en agriculture biologique ? » et une expérimentation de transformation industrielle : « comment faire du sucre biologique à partir de la betterave ? ».

En effet, les auxiliaires technologiques (antimousses, floculants etc) utilisés pour faire du sucre à partir de la betterave conventionnelle ne sont pas autorisés par la réglementation française pour la production biologique. Pour relever ce défi technologique, deux pistes sont actuellement étudiées par Cristal Union : soit une adaptation du process « normal » via de nouveaux auxiliaires technologiques, soit un process totalement nouveau, rendu possible par des innovations technologiques.

En l’absence de débouchés, la betterave sucrière n’est pas cultivée en agriculture biologique (ce qui justifie l’expérimentation agronomique, car les références manquent pour cette culture) et cela freine la conversion de certains exploitants avec des parts importantes de betterave dans leur assolement. Si une solution de transformation est trouvée, cela pourrait lever certains freins à la conversion dans les plaines productrices de betterave.

Un développement de 1000 à 1500 ha de betteraves biologiques est prévu pour 2019 dans le cadre de ce projet. Afin de favoriser ce développement des surfaces en priorité dans les aires d’alimentation de captages, du temps sera consacré à la prospection et l’accompagnement des exploitants spécifiquement dans ces territoires à enjeu eau.

©Cristal Union

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